Almere s'est demandé comment améliorer l'orientation des Ukrainiens. La municipalité a décidé de poser la question aux Ukrainiens de l'accueil. Cela semble évident, mais ça ne l'est pas (encore). Vrij Nederland a interrogé nos collègues Renée Frissen et Tamer Allaloush sur le pool d'experts d'Almere.
Soutenir la vie du bâtiment
Les personnes originaires d'Ukraine ont besoin non seulement d'une protection temporaire, mais aussi d'un soutien pour construire leur vie aux Pays-Bas à long terme. Mais la municipalité d'Almere n'a rien trouvé à ce sujet dans la réglementation nationale. "C'est incompréhensible", estime Wouter Locher, chef de projet à la municipalité. "C'est donc à l'ensemble des plus de 300 municipalités des Pays-Bas qu'il revient d'inventer la roue dans ce domaine. Comment aider les gens à démarrer ? Comment s'assurer qu'ils ont quelque chose à faire et qu'ils ne s'ennuient pas dans leur chambre ?
À Almere, les Ukrainiens réfléchissent eux-mêmes à leur politique
De gemeente besloot het de mensen zelf te vragen. OpenEmbassy hielp hen met het organiseren van een expertpool van twintig mensen uit Oekraïne die sinds de zomer van 2023 meedenken over manieren om de opvang te verbeteren.
Cela semble évident : "demander aux gens eux-mêmes ce dont ils ont besoin", mais ce n'est pas (encore) le cas, surtout en ce qui concerne les Ukrainiens. De nombreuses municipalités sont encore en mode crise lorsqu'il s'agit d'accueillir des Ukrainiens. Par conséquent, il arrive encore rarement qu'elles impliquent les Ukrainiens dans l'élaboration de politiques d'intégration à long terme. Or, leur savoir expérientiel peut faire la différence entre une politique inefficace et une politique bien adaptée aux besoins des personnes auxquelles elle s'adresse.
Article Vrij Nederland
"À Almere, les Ukrainiens participent à la définition d'une politique qui les concerne.